ITU-T G 105 FRENCH-1993 HYPOTHETICAL REFERENCE CONNECTION FOR CROSSTALK STUDIES《串扰研究的假设参考连接》.pdf

1、UNION INTERNATIONALE DES TLCOMMUNICATIONSUIT-T G.105SECTEUR DE LA NORMALISATIONDES TLCOMMUNICATIONSDE LUITSYSTMES ET SUPPORTS DE TRANSMISSIONCARACTRISTIQUES GNRALES DESCONNEXIONS TLPHONIQUES INTERNATIONALESET DES CIRCUITS TLPHONIQUESINTERNATIONAUXCOMMUNICATION FICTIVE DE RFRENCEPOUR LES TUDES RELATI

2、VES LA DIAPHONIERecommandation UIT-T G.105(Extrait du Livre Bleu)NOTES1 La Recommandation G.105 de l UIT-T a t publie dans le fascicule III.1 du Livre Bleu. Ce fichier est un extraitdu Livre Bleu. La prsentation peut en tre lgrement diffrente, mais le contenu est identique celui du Livre Bleu et les

3、conditions en matire de droits dauteur restent inchanges (voir plus loin).2 Dans la prsente Recommandation, le terme Administration dsigne indiffremment une administration detlcommunication ou une exploitation reconnue. UIT 1988, 1993Droits de reproduction rservs. Aucune partie de cette publication

4、ne peut tre reproduite ni utilise sous quelque formeque ce soit et par aucun procd, lectronique ou mcanique, y compris la photocopie et les microfilms, sans laccord crit delUIT.Fascicule III.1 - Rec. G.105 1Recommandation G.105Fascicule III.1 - Rec. G.105COMMUNICATION FICTIVE DE RFRENCEPOUR LES TUDE

5、S RELATIVES LA DIAPHONIE(Genve, 1980)1 ObjetLa prsente Recommandation fournit des directives concernant lapplication de la Recommandation P.16 1 aurseau tlphonique gnral commutation et recommande la structure et les paramtres dune communication fictive derfrence spcialement conue en vue des tudes re

6、latives la diaphonie.2 Observations gnrales2.1 Prcision des donnes fondamentales2.1.1 Il existe toujours une part dincertitude lorsquon applique une conversation tlphonique relle les rsultatsdessais dans lesquels on demande des personnes dcouter attentivement pour voir si elles parviennent dceler un

7、ediaphonie intelligible. En outre, on ne peut attendre dessais de ce type quils montrent avec certitude dans quelle mesurele fait de surprendre une autre conversation ruine la confiance quavait labonn dans le caractre priv de ses propresconversations. Par consquent, lobjectif doit tre en gnral de li

8、miter au strict minimum le risque dune diaphoniesusceptible dtre intelligible.2.1.2 Lapplication de la mthode de calcul spcifie dans la Recommandation P.16 1 peut donner lieu des erreurs siles affaiblissements et les quivalents pour la sonie pour la diaphonie nont pas une distribution normale, mais

9、unedistribution asymtrique ou tronque par suite des procdures dessai de rception. Cela tient au fait quon sefforce, engnral, dobtenir de faibles probabilits de diaphonie intelligible, qui dpendent beaucoup dune dfinition prcise desqueues de distribution. Une faon de tourner la difficult consiste app

10、liquer la mthode de Monte Carlo, selon ladescription qui en est donne, par exemple, dans le manuel du CCITT cit en 2, en prenant soin de rpter le processusditration un nombre de fois suffisant pour garantir la prcision ncessaire.2.1.3 Il faut prendre grand soin dobtenir des valeurs reprsentatives de

11、 laffaiblissement et du bruit sur les trajetsdiaphoniques tudis. En particulier, une faible modification des valeurs moyennes peut facilement aboutir multiplierou diviser par 10, sinon davantage, le risque dcoute indiscrte fourni par le calcul (voir par exemple 3).2.2 Influence du bruit de ligne et

12、du bruit de salle2.2.1 Leffet de masque exerc par le bruit de ligne constitue un autre aspect important, qui soulve certainesdifficults. Si lon admet, en vue de fixer des limites de diaphonie, que le niveau du bruit de ligne est ngligeable, onrisque dexiger un affaiblissement diaphonique peu raliste

13、 de la part des dispositifs de linstallation. En revanche, si lonadmet que les circuits et les centraux en service provoquent des niveaux de puissance de bruit peu prs conformes auxobjectifs pour les projets, par exemple la valeur classique de 4 pW0p/km, lcoute indiscrte peut atteindre un degrinacce

14、ptable, en particulier lorsque le rseau est faiblement charg et que, par consquent, les niveaux de puissance debruit ont en principe leur plus faible valeur.Comme cest frquemment le cas dans les tudes de transmission, il faut trouver un compromis raisonnable entreces deux extrmes. Dans certains cas,

15、 il pourra tre ncessaire de se fonder sur des mesures du niveau de puissance debruit dans des installations en exploitation, au cours de priodes de trafic intense ou faible. Cependant, il ne faut pasperdre de vue que les limites fixes aujourdhui doivent, si possible, tenir compte des innovations de

16、demain. Un principerationnel consiste viter que la bonne marche de lquipement dans une partie du rseau ne soit subordonne labsencedimperfections, de survenue alatoire, dans dautres parties du rseau, surtout quand ces imperfections ont toute chancedtre limines ou attnues lavenir par exemple grce une

17、nouvelle conception des centraux locaux ou lagnralisation des systmes de transmission numrique grande distance.2.2.2 Contrairement ce qui se passe pour le bruit de ligne, linfluence du bruit de salle peut tre attnue si lapersonne qui coute est capable de concentration. Cest pourquoi la Recommandatio

18、n P.16 1 recommande de supposerle bruit de salle ngligeable quand on fixe un objectif pour les projets relatifs aux quipements.2 Fascicule III.1 - Rec. G.1052.3 Probabilits et distributions en cause2.3.1 Quand on dtermine la distribution de laffaiblissement diaphonique provoqu par les quipements et

19、les cbles,il convient de ne retenir que les plus mauvaises valeurs (admissibles). Par exemple, dans un cble 10 paires, il fautuniquement tenir compte de la source de perturbation la plus gnante pour chaque paire, do 10 valeurs au total: lespoints saillants de la distribution ne doivent pas tre masqu

20、s par les 80 autres valeurs moins dfavorables. Pendant lapriode charge, on peut tre certain que la source de perturbation la plus gnante pour une paire particulire sera active.2.3.2 En ce qui concerne la diaphonie intelligible entre communications tablies sur le rseau dun mme central local,la probab

21、ilit pour quun abonn qui provoque une perturbation passe un appel en mme temps que labonn qui la subitpeut certainement tre trs faible dans le cas du service rsidentiel, mais probablement pas dans le cas du servicedaffaires et des installations avec postes supplmentaires. On trouvera en 4 des inform

22、ations ce sujet et desindications sur la faon de calculer ces probabilits.2.3.3 Lentre dans une communication tlphonique de plusieurs signaux de diaphonie intelligible provenant tous dela mme source et prsentant tous une intensit notable constitue une ventualit si peu probable quon peut la ngligerda

23、ns ltablissement des limites nominales. Pour la dtermination de ces limites, seul le mcanisme de diaphoniedominant est pris en compte tandis quon suppose ngligeables toutes les autres sources, de sorte quon peut assigner aumcanisme dominant la totalit de la tolrance.Cependant, quand lobjectif fix po

24、ur la qualit de fonctionnement du rseau en ce qui concerne la diaphonie doittre rparti entre les centraux et les circuits constituant la communication, il est parfois ncessaire de tenir compte delexistence ventuelle de plusieurs trajets diaphoniques dorigines diffrentes. Par exemple, on peut spcifie

25、r des valeurslimites pour la diaphonie, applicables des trajets complets passant par le central ou des circuits de jonction complets.Ainsi, dans les communications simples qui font intervenir dautres centraux (en ngligeant pour linstant la diaphoniequi se produit dans les cbles locaux), il existe tr

26、ois sources principales de diaphonie; si lon se fixe, par exemple, pourobjectif de limiter le risque dcoute indiscrte une communication sur 100, on peut rduire 1 sur 300 la probabilit dediaphonie pour chacune des sources (en supposant que les probabilits sont gales et quil nexiste aucune corrlatione

27、ntre les sources).Les figures 1/G.105 et 2/G.105 reprsentent quelques trajets diaphoniques importants.3 Communication fictive de rfrence pour la diaphonieLa figure 3/G.105 reprsente les lments essentiels de deux communications fictives de rfrence quiconviennent pour les tudes relatives la diaphonie,

28、 dans le cas des circuits et des centraux tlphoniques. Onremarquera que ces communications sont beaucoup plus simples que les communications correspondantes de laRecommandation G.103, pour les tudes relatives au bruit et laffaiblissement. Il serait en effet dun intrt douteuxdtudier le risque dune di

29、aphonie susceptible dtre intelligible entre deux communications comportant 12 circuits delongueur et de niveau de bruit voisins de la valeur maximale en vue dtablir, par exemple, la limite imposer ladiaphonie due lquipement de voie; en effet, cet quipement, quand il est achet et install conformment

30、auxspcifications, est dans la majorit des cas utilis dans des communications beaucoup plus simples, moins bruyantes etplus nombreuses.Fascicule III.1 - Rec. G.105 3Quelques-uns des trajets de tldiaphonie et de paradiaphonie qui prsentent de limportance lorsque lon tudie lepassage, ventuellement inte

31、lligible, de paroles dune communication tlphonique une autre4 Fascicule III.1 - Rec. G.105Quelques trajets fictifs de rfrence de diaphonie considrer lorsquelon tudie la diaphonie dans le rseau du central localFascicule III.1 - Rec. G.105 56 Fascicule III.1 - Rec. G.105Rfrences1 Recommandation du CCI

32、TT Effets subjectifs de la diaphonie directe. Seuils daudibilit et dintelligibilit,tome V, Rec. P.16.2 Manuel du CCITT Planification de la transmission dans les rseaux tlphoniques commutation, UIT,Genve, 1976.3 Menace de diaphonie sociale dans le rseau local. Revue des Tlcommunications (ITT), Vol. 49, n 4,p. 427-439, 1974.4 LAPSA (P. M.): Calculation of multidisturber crosstalk probabilities, Bell System Technical Journal, Vol. 55,n 7, septembre 1976.