ITU-T H 110 FRENCH-1988 HYPOTHETICAL REFERENCE CONNECTIONS FOR VIDEOCONFERENCING USING PRIMARY DIGITAL GROUP TRANSMISSION《使用数字基群传输的视频会议的假设参考连接》.pdf

1、UNION INTERNATIONALE DES TLCOMMUNICATIONS5)4 4 H.110SECTEUR DE LA NORMALISATIONDES TLCOMMUNICATIONSDE LUIT54),)3!4)/. $%3 ,).%30/52 ,! 42!.3-)33)/. $%3 3).!58!542%3 15% 4 , 0(/.)15%3#/-5.)#!4)/.3 modifie Melbourne, 1988)Le CCITT,considrant(a) quil existe de manire de plus en plus manifeste une deman

2、de des abonns pour un service devisioconfrence;(b) que lon peut actuellement fournir effectivement des circuits pour rpondre cette demande, par transmissionnumrique utilisant le groupe numrique primaire;(c) que les rseaux de transmission numriques commuts, quil sagisse du Rseau numrique intgr (RNI)

3、oudu Rseau numrique avec intgration des services (RNIS) sont tudis, mais que les mthodes dexploitation de cesrseaux pour la transmission de groupes numriques primaires ne seront pas claires tant que les tudes nauront pasavanc;(d) que lexistence de diffrentes hirarchies numriques et de diffrentes nor

4、mes de tlvision dans lesdiffrents pays complique les problmes de dfinition des communications fictives de rfrence;(e) quune communication fictive de rfrence peut servir de guide pour simplifier les problmes descommunications entre pays ayant des normes de tlvision et des hirarchies numriques diffren

5、tes,conscientde ce que des progrs rapides sont faits en matire de recherche et de dveloppement des techniques de codagevido et de rduction de dbit binaire, qui pourront conduire au cours des prochaines priodes dtudes la propositionde nouvelles recommandations sur des communications fictives de rfren

6、ce de visioconfrence des dbits binaires quiseront des multiples ou des sous-multiples de 384 kbit/s, si bien que la prsente Recommandation peut tre considrecomme la premire dune srie;notant(a) quune communication fictive de rfrence est un modle qui permet de faire des tudes sur la qualit globaleet,

7、partant, des comparaisons avec des normes et des objectifs; sur cette base, on peut rpartir des limites pour diversesdgradations entre les lments de la communication;(b) quun tel modle peut tre utilis: par une Administration pour tudier les effets sur la qualit de transmission dventuelles modificati

8、ons de la rpartition des dgradations dans les rseaux nationaux; par le CCITT pour tudier la rpartition des dgradations entre les parties composant les rseaux internationaux; pour vrifier que les rgles nationales sont premire vue conformes aux critres de dgradation que peut recommander le CCITT pour

9、les systmes nationaux;(c) que les communications fictives de rfrence ne doivent pas tre considres comme recommandant desvaleurs particulires de dgradation rpartir entre les lments constitutifs de la communication et quelles ne sont pasdestines tre utilises pour la conception de systmes de transmissi

10、on;et reconnaissantque la planification des rseaux de transmission ncessaires pour un service de visioconfrence sera facilite silon dispose de communications fictives de rfrence recommandes, mme si ce nest que sous une forme prliminaire,sans dtails de tous les arrangements de transmission et de comm

11、utation,2 Fascicule III.6 - Rec. H.110recommande(1) que la communication fictive de rfrence et les moyens de transmission numrique illustrs par les figures1/H.110 et 2/H.110 soient utiliss comme modle pour des tudes de la qualit globale des communications devisioconfrence internationales, intrargion

12、ales1)comme interrgionales1), tablies laide dun nombre minimumdappareils de codage et de dcodage;(2) que des communications fictives de rfrence dun type plus complexe, comme celles quillustre la figure3/H.110, du fait quelles sont reprsentatives de nombreuses communications qui peuvent tre employes

13、dans lapratique, soient tudies plus avant.Remarque 1 La communication fictive de rfrence reprsente sur la figure 1/H.110 contient les lments detransmission de base, mais elle est incomplte car la communication a t exclue et les extrmits et les parties locales durseau national chaque extrmit de la co

14、mmunication nont pas t spcifies.Remarque 2 Etant donn que les systmes de transmission, qui interconnectent des rgions utilisant deshirarchies numriques diffrentes, nont pas encore t normaliss et que la visioconfrence sera probablement unservice minoritaire dans ces systmes de transmission, il semble

15、 prudent dtudier les communications de visioconfrencepour deux niveaux hirarchiques primaires sur la liaison interrgionale: 1,5 Mbit/s et 2 Mbit/s. Sur la figure 2b/H.110, lepassage de la transmission 2048 kbit/s la transmission 1544 kbit/s se situe lextrmit 2048 kbit/s du rseauinternational longue

16、distance. La partie longue distance de la communication fonctionne donc au dbit binaire infrieur.Lorsque le rseau international est tabli sur un systme qui utilise la hirarchie 2048 kbit/s, la figure 2c/H.110maintient les rendements que donne larrangement reprsent sur la figure 2b/H.110, en mettant

17、disposition pourdautres utilisations les six intervalles de temps librs. La figure 2d/H.110 permet dobtenir une qualit dimageamliore par rapport aux figures 2b/H.110 et 2c/H.110, en tirant pleinement parti des 2048 kbit/s disponibles pour lesignal de visioconfrence. Cet arrangement ncessiterait un c

18、odec 2048 kbit/s compatible avec des normes vido 525lignes ou bien lemploi dun convertisseur de normes extrieur. Cela doit faire lobjet dun complment dtude.Remarque 3 Les longueurs attribues aux parties des communications ont t choisies arbitrairement, maisprsentent une certaine cohrence avec les Re

19、commandations existantes du CCITT et du CCIR. Elles visent trereprsentatives de longues communications internationales, mais pas de la plus longue possible. Il pourra tre ncessairede rviser les longueurs lorsque les tudes sur les taux derreur des conduits numriques seront parvenues au stade o lonpou

20、rra prvoir les taux derreur des conduits utiliss dans les communications.Remarque 4 Le temps de propagation est lun des principaux facteurs tudier sur la base des structures et deslongueurs des communications reprsentes sur les figures 1/H.110, 2/H.110 et 3/H.110. Toutefois, en labsence dersultats d

21、essais subjectifs, la spcification des besoins de communications de visioconfrence doit faire lobjet duncomplment dtude. Cette tude, et surtout lexprience oprationnelle, sont ncessaires pour dterminer dans quellemesure la Recommandation G.114, relative aux communications tlphoniques peut sappliquer

22、aux communications devisioconfrence.Remarque 5 Sur les figures 1/H.110 et 3/H.110, les codecs peuvent tre situs nimporte o dans les rseauxinternationaux ou nationaux, y compris au centre tte de ligne international ou chez labonn.Remarque 6 Le prolongement au-del de lun des codecs reprsents en A ou D

23、 sur les figures 1/H.110 et3/H.110 peut comprendre des systmes de transmission analogiques large bande ou numriques grande vitesse surdes supports terrestres. On ne pense pas que ces systmes de transmission auront une influence significative sur la qualitde limage ou du son ou sur le temps de propag

24、ation, mise part linfluence due leur longueur.Remarque 7 En exploitation interrgionale, une conversion de normes de tlvision entre signaux vido 525 lignes et 625 lignes peut tre ncessaire. Cette conversion peut tre faite par les codecs eux-mmes, ou assure parun matriel extrieur.Remarque 8 Les arrang

25、ements reprsents sur la figure 2/H.110 constituent le moyen de transmission le plussimple. Des moyens plus complexes sont possibles et ne sont pas exclus.Remarque 9 La communication fictive de rfrence reprsente sur la figure 3/H.110 est dun type pluscomplexe que celle de la figure 1/H.110, car elle

26、comporte des codecs en cascade et, ventuellement, un convertisseurexterne de normes de tlvision. La qualit image que lon peut obtenir avec ces communications plus complexes peuttre dtriore par rapport celle que lon peut obtenir avec la communication reprsente sur la figure 1/H.110. Cetaspect, parmi

27、dautres, de la communication plus complexe doit faire lobjet dun complment dtude.1)Le mot “intrargional” dsigne ici des connexions lintrieur dun groupe de pays qui partagent une norme de balayage detlvision commune et une hirarchie numrique commune et peuvent ou non tre situs dans la mme rgion gogra

28、phique. Lemot “interrgional” dsigne ici des connexions entre des groupes de pays qui ont des normes de balayage de tlvision diffrenteset/ou des hirarchies numriques diffrentes.Fascicule III.6 - Rec. H.110 34Fascicule III.6 - Rec. H.110Fascicule III.6 - Rec. H.110 5Symboles de la figure 2/H.110:6 Fascicule III.6 - Rec. H.110Symboles de la figure 3/H.110: